♥️Cent deux jours face à lui même...

Marie MAURY
4 août 2024
2 min de lecture

Dernière mise à jour : 14 oct.

♥️Il est perdu. Il ne sait pas s’il peut se rencontrer avec encore si peu à vivre,

Lui qui aimait tant la Grande Mère, la Terre, il a négligé sa terre intérieure pour se survivre,

Détourné sans cesse, trop occupé à sauver ce qui ne pouvait l’être,

Sollicité sans cesse pour l’empêcher de respirer en son Être.

Se perdre dans une vie qui n’était pas sienne, englué dans des mondes sombres auxquels il n’appartenait pas et faire au mieux avec l’ombre de ce qu’il ne soupçonnait pas.

À ne pas se positionner,

D’autres ont décidé : où il poserait ses pas, où serait sa destinée.

Cent deux jours face à lui-même

♥️Pour apprendre à faire la différence entre le véritable Amour, reçu, donné, partagé, et la théâtralisation,

Le réveil est toujours douloureux

Quand enfin s’ouvrent les yeux,

Sur les faux-semblants, les médisances, les manipulations.

Sa joie, sa lumière lui ont été dérobés,

Les voleurs d’âme sont si futés et si bien entraînés.

Cent deux jours face à lui-même

♥️Un cortège d’émotions, de larmes, de douceur, de tendresse, et de ce temps si précieux, pour apprendre, pour comprendre l’Essentiel et l’Essence-Ciel,

Que la Vie d’un homme lui appartient, que la Vie est une très brève expérience pour apprendre à aimer, pour goûter en son Sacré et au Miel.

Cent deux jours face à lui-même

♥️Pour apprendre et comprendre L’importance d’être soi-même, Pour s’aimer et semer les bonnes graines,

En ce crépuscule, le Divin en lui a saisi la belle aubaine,

Peu importe tout ce temps,

En l’au delà, l’âme se souviendra.

Cent deux jours face à lui-même

♥️Tous les signes lui ont été envoyés,

Son âme le savait,

À l’heure du grand voyage la Providence, la Pure Conscience l’ont éclairé,

Comme quoi jusqu’à la fin rien n’est jamais déterminé,

Des décennies à se laisser soumettre et enfermer,